Monday, May 5, 2008


Henri Rousseau, « La Charmeuse de Serpent », 1907; Paris, Musée d’Orsay (prêté du Musée National d’Art Moderne)

Dans ces deux peintures par Henri Rousseau nous notons une fascination avec le foret, la brousse et la bête sauvage en tant que ses relations avec les êtres-humains. Cela est typique de Rousseau en dépit du fait qu’il ne faisait pas parti d’un mouvement très spécifique, comme Matisse et le Fauvisme, mais il a traité plutôt les thèmes exotiques et primitifs de sa propre manière. Il cherchait surtout d’exprimer les instincts naturels des êtres-humains et leur relation à la nature.

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